Organisée par les Nations unies en partenariat avec l’Union africaine, la Banque mondiale et la Banque africaine de développement (BAD), la Semaine africaine du climat, qui se tiendra du 29 août au 1er septembre à Libreville (Gabon), est une étape clé sur la voie de la COP 27 en Égypte.
Dérèglement, réchauffements climatiques, émission de carbones, et déplacement des populations du fait des catastrophes causées par le climat, l’enjeu sur la thématique est plus qu’urgent pour le continent.
Travailler ensemble
Pendant quatre jours, La Semaine du climat sera l’occasion d’engager des discussions avec les gouvernements, les dirigeants du secteur privé, les organisations de développement, les jeunes et la société civile en vue de faire progresser l’action climatique et d’apporter une réponse sous-régionale. Cette semaine sera aussi l’occasion de collaborer sur la résilience face aux risques climatiques, la transition vers une économie à faibles émissions et les partenariats pour résoudre les défis urgents. Enfin, ce rendez-vous constitue également une action hub pour partager les actions en cours afin de réduire les impacts climatiques et de construire des communautés résilientes.
Libreville, un choix judicieux
Le choix du Gabon pour accueillir cette Semaine africaine du climat n’est pas une coïncidence. Faible pollueur, Le Gabon était, en juin 2021, le premier pays africain à être rétribué par des fonds internationaux pour sa contribution à l’absorption du CO2 dans le monde. Pour le président Ali Bongo “C’est la reconnaissance du rôle décisif joué par notre pays dans la lutte contre les dérèglements climatiques.”
Le #Gabon a été choisi par l’@CCNUCC pour accueillir la Semaine africaine du #climat 2022 du 29 août au 1er septembre.
C’est la reconnaissance du rôle décisif joué par notre pays dans la lutte contre les dérèglements climatiques.
Il n’y a pas de fatalité. Le temps est à l’action!— Ali Bongo Ondimba (@PresidentABO) June 16, 2022
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