Entre chantage, complot, manipulation et mensonge à outrance, la nouvelle direction générale d’ EGCA/Satram ne respire plus.
En effet, depuis plusieurs mois, « des individus bien identifiés font un travail de sabotage en fournissant à une certaine presse, qui diffuse chaque semaine des informations erronées au sujet du redressement de l’entreprise et de son fonctionnement, en mettant à mal la nouvelle direction générale. » Une attitude décriée et dénoncer par un collectif d’agents, qui rejettent tous « ces articles de presse cousu de fils blancs et dépourvus de sens qui portent atteinte aux responsables de l’entreprise, son personnel et les efforts qui sont faits pour le redressement définitif de l’entreprise », ont-ils signifié. « Sans aucune investigation, les auteurs de ces articles, sans aucun lien avec l’entreprise, véhiculent des fausses informations orientées, qu’ils reçoivent des individus, moyennant de l’argent.
Dans leurs articles mensongers, les auteurs affichent des photos des personnes dont ils ignorent les responsabilités, encore moins le rôle que ces dernières ont exercé dans l’Affaire du Redressement Judiciaire d’EGCA/SATRAM. Peuvent t-ils prouver que les personnes postées dans cet article sont-elles à l’origine du malaise de ces entreprises? Si c’est le cas, qu’ils le démontrent. Les photos postées, du matériel et les chiffres des sommes d’argent mentionnés sont elles des preuves matérielles suffisantes pour faire asseoir l’hypothèse de détournement d’argent et vente du matériel ? » S’interrogent-ils. Et poursuivant, « leur but est de ternir l’image de ceux qui se battent au quotidien pour sauver les entreprises EGCA/SATRAM et surtout boycotter les efforts déjà consentis et salués par l’ensemble du personnel des deux entreprises. »
Le personnel dit savoir qui est à l’origine de cette déstabilisation de l’entreprise. « il s’agit d’un groupuscule d’ employés, ayant perdu leurs privilèges auprès du nouveau DG ; les syndics judiciaires qui ont été écartés pour avoir vendu le matériel en touchant les honoraires et dont le bilan est négatif et les créances fictives en complicité avec l’ancien directeur juridique d’EGCA/SATRAM. » Le moment venu, nous nous exprimerons davantage pour la sauvegarde de notre entreprise.
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